rassembler, informer et accompagner toutes les familles touchées par la dyspraxie
inciter les médecins, les psychologues, les pédagogues à s’interroger sur ces enfants « déroutants » afin qu’ils soient diagnostiqués de manière précoce, qu’ils soient pris en charge de manière adaptée et suivent un cursus scolaire normal
alerter les pouvoirs publics afin que la dyspraxie soit reconnue comme handicap à part entière avec ses spécificités
la formation de rééducateurs spécialisés (orthoptistes, ergothérapeutes, psychomotriciens, orthophonistes, psychologues…), des médecins, des enseignants…
l’optimisation des solutions de scolarisation adaptées : aménagements pédagogiques (AESH, ordinateur, 1/3 temps…), la création de classes adaptées ULIS Dys ou de tout autre dispositif permettant de garantir aux enfants dyspraxiques une scolarité normale et une formation professionnelle qui leurs permettent d’accéder à l’autonomie à laquelle ils peuvent prétendre de plein droit.
Pour que cesse la discrimination, l’exclusion, tous ensemble mutualisons nos expériences, nos compétences, nos énergies afin de créer un véritable réseau d’entraide.